PANAPRESS
Agence Panafricaine d'information
Un officier de l'armée soudanaise tué dans des combats avec des hors-la-loi au Darfour
Khartoum, Soudan (PANA) - Un officier des Forces armées soudanaises (Saf), le lieutenant Abdulla al-Tayeb Abdulla, a été tué et plusieurs autres, y compris un lieutenant-colonel, ont été blessés dans des affrontements contre des hors-la-loi jeudi dans la région de Bursa, à l'est de Fashir, capitale de l'Etat du Darfour-Nord.
Selon des informations parvenues à Khartoum depuis Fashir, à environ 750 km à l'ouest de Khartoum, les rues de la ville de Fashir ont été désertées alors que le bruit des balles et des armes lourdes a été entendu, en particulier dans la région de Bursa.
Un communiqué de presse du gouverneur du Darfour du Nord, Abdul Wahid Yusuf, a déclaré, vendredi, que les autorités de sécurité surveillaient un groupe de hors-la-loi qui commettaient un certain nombre de crimes à Fashir et que, sur réception de rapports et d'informations, le comité de sécurité a pris des mesures pour les nettoyer de la zone.
Le gouverneur a ajouté qu'une force conjointe de l'Armée, de la Police et de la Sécurité engagée dans des combats avec le groupe de hors-la-loi, a tué et blessé beaucoup d'entre eux.
Le gouverneur a déclaré, dans son communiqué de presse, que les journaux de Khartoum ont également diffusé, ce vendredi, que la situation sécuritaire à Fashir est maintenant sous contrôle et que le comité de sécurité a imposé des mesures pour sécuriser la ville, y compris l'interdiction de conduire des voitures avec des vitres teintées ou sans plaques d'immatriculation en plus de l'établissement de points de contrôle le long des rues.
L'Agence de presse gouvernementale, SUNA, a déclaré que des affrontements ont éclaté jeudi matin entre les forces gouvernementales soudanaises et des éléments armés non-identifiés, qualifiés d'"éléments indisciplinés" dans la région de Bursa, à l'est du Fashir, au nord du Darfour.
Fashir est la plus grande des cinq capitales régionales au Darfour. Il est également le siège des Forces de maintien de la paix des Nations unies (Unamid) au Soudan.
C'est la première incidence de violence signalée dans la ville depuis de nombreuses années au moment où le gouvernement a déclaré que la zone était maintenant sécurisée et libre de toute rébellion.
-0- PANA MO/VAO/MTA/BEH/IBA 17fév2017
Selon des informations parvenues à Khartoum depuis Fashir, à environ 750 km à l'ouest de Khartoum, les rues de la ville de Fashir ont été désertées alors que le bruit des balles et des armes lourdes a été entendu, en particulier dans la région de Bursa.
Un communiqué de presse du gouverneur du Darfour du Nord, Abdul Wahid Yusuf, a déclaré, vendredi, que les autorités de sécurité surveillaient un groupe de hors-la-loi qui commettaient un certain nombre de crimes à Fashir et que, sur réception de rapports et d'informations, le comité de sécurité a pris des mesures pour les nettoyer de la zone.
Le gouverneur a ajouté qu'une force conjointe de l'Armée, de la Police et de la Sécurité engagée dans des combats avec le groupe de hors-la-loi, a tué et blessé beaucoup d'entre eux.
Le gouverneur a déclaré, dans son communiqué de presse, que les journaux de Khartoum ont également diffusé, ce vendredi, que la situation sécuritaire à Fashir est maintenant sous contrôle et que le comité de sécurité a imposé des mesures pour sécuriser la ville, y compris l'interdiction de conduire des voitures avec des vitres teintées ou sans plaques d'immatriculation en plus de l'établissement de points de contrôle le long des rues.
L'Agence de presse gouvernementale, SUNA, a déclaré que des affrontements ont éclaté jeudi matin entre les forces gouvernementales soudanaises et des éléments armés non-identifiés, qualifiés d'"éléments indisciplinés" dans la région de Bursa, à l'est du Fashir, au nord du Darfour.
Fashir est la plus grande des cinq capitales régionales au Darfour. Il est également le siège des Forces de maintien de la paix des Nations unies (Unamid) au Soudan.
C'est la première incidence de violence signalée dans la ville depuis de nombreuses années au moment où le gouvernement a déclaré que la zone était maintenant sécurisée et libre de toute rébellion.
-0- PANA MO/VAO/MTA/BEH/IBA 17fév2017