PANAPRESS
Agence Panafricaine d'information
Macky Sall se félicite des avancées démocratiques du Sénégal
Dakar, Sénégal (PANA) – Le président sénégalais, Macky Sall, s’est félicité dimanche à Fatick de l’avancée démocratique de son pays, invitant ses compatriotes à défendre et améliorer leurs acquis démocratiques.
«Le Sénégal est une démocratie affirmée. C’est une démocratie que rien ne doit ternir. Nous devons défendre les acquis et travailler à les consolider», a-t-il déclaré.
S’exprimant à la sortie du bureau de vote où il a accompli son devoir de citoyen, le président Sall a rappelé que les élections législatives, qui se déroulent ce dimanche, sont les quatrièmes organisées depuis son arrivée au pouvoir, en mars 2012.
« Nous avons organisé des élections législatives en 2012, des locales en 2014, un référendum en 2017 et ces législatives. Nous avons toujours respecté le calendrier républicain et bien organisé ces élections», a déclaré le président Sall qui a voté dans sa ville natale située dans le Centre-ouest du pays.
Plus de six millions d’électeurs sont appelés à choisir les 165 députés, dont 15 représentants de la diaspora, qui siègeront au Parlement pour un mandat de cinq ans renouvelable à souhait.
Leurs choix doivent se faire sur 47 listes de coalitions de partis dont celle de la majorité présidentielle dénommée "Benno Bokk Yakar", de "Manko Taxaawu Senegaal", dirigée par le maire de Dakar, Khalifa Sall, en prison depuis plusieurs mois et de la "Coalition gagnante/Wattu Senegaal" dont la tête de liste n’est autre que l’ancien président Abdoulaye Wade.
Les opérations de votre se déroulent sans incidents majeurs, mais sont perturbées par de nombreux cafouillages liés aux inscriptions sur les listes électorales et au retard dans la distribution des cartes d’électeur.
Pour éviter un éventuel fort taux d’abstention, le président Macky Sall a saisi le Conseil constitutionnel qui a rendu son verdict mercredi dernier, autorisant l’électeur à voter muni d’un passeport, d’un permis de conduire ou d’une vieille carte d’identité accompagnés du récépissé justifiant son inscription sur les listes électorales.
Quelques jours auparavant, la Commission électorale nationale autonome (CENA) avait organisé une rencontre avec les partis politiques pour trouver les moyens d’éviter des lenteurs au déroulement des opérations de vote.
Ils ont majoritairement décidé que l’électeur ne sera pas obligé de prendre toutes les listes, mais pour faire son choix, il en emportera au moins cinq dans l’isoloir.
Leur décision a fait l’objet d’un vote, par l’Assemblée nationale, d’une loi modifiant l’article L78 du code électoral pour légitimer cette nouvelle disposition.
Le Parlement est dominé par Benno Bokk Yakaar avec 119 députés, loin devant le Parti démocratique sénégalais (PDS) de l’ancien président, Abdoulaye Wade, qui occupe 12 sièges
-0- PANA AAS/AAS/IBA 30juil2017
«Le Sénégal est une démocratie affirmée. C’est une démocratie que rien ne doit ternir. Nous devons défendre les acquis et travailler à les consolider», a-t-il déclaré.
S’exprimant à la sortie du bureau de vote où il a accompli son devoir de citoyen, le président Sall a rappelé que les élections législatives, qui se déroulent ce dimanche, sont les quatrièmes organisées depuis son arrivée au pouvoir, en mars 2012.
« Nous avons organisé des élections législatives en 2012, des locales en 2014, un référendum en 2017 et ces législatives. Nous avons toujours respecté le calendrier républicain et bien organisé ces élections», a déclaré le président Sall qui a voté dans sa ville natale située dans le Centre-ouest du pays.
Plus de six millions d’électeurs sont appelés à choisir les 165 députés, dont 15 représentants de la diaspora, qui siègeront au Parlement pour un mandat de cinq ans renouvelable à souhait.
Leurs choix doivent se faire sur 47 listes de coalitions de partis dont celle de la majorité présidentielle dénommée "Benno Bokk Yakar", de "Manko Taxaawu Senegaal", dirigée par le maire de Dakar, Khalifa Sall, en prison depuis plusieurs mois et de la "Coalition gagnante/Wattu Senegaal" dont la tête de liste n’est autre que l’ancien président Abdoulaye Wade.
Les opérations de votre se déroulent sans incidents majeurs, mais sont perturbées par de nombreux cafouillages liés aux inscriptions sur les listes électorales et au retard dans la distribution des cartes d’électeur.
Pour éviter un éventuel fort taux d’abstention, le président Macky Sall a saisi le Conseil constitutionnel qui a rendu son verdict mercredi dernier, autorisant l’électeur à voter muni d’un passeport, d’un permis de conduire ou d’une vieille carte d’identité accompagnés du récépissé justifiant son inscription sur les listes électorales.
Quelques jours auparavant, la Commission électorale nationale autonome (CENA) avait organisé une rencontre avec les partis politiques pour trouver les moyens d’éviter des lenteurs au déroulement des opérations de vote.
Ils ont majoritairement décidé que l’électeur ne sera pas obligé de prendre toutes les listes, mais pour faire son choix, il en emportera au moins cinq dans l’isoloir.
Leur décision a fait l’objet d’un vote, par l’Assemblée nationale, d’une loi modifiant l’article L78 du code électoral pour légitimer cette nouvelle disposition.
Le Parlement est dominé par Benno Bokk Yakaar avec 119 députés, loin devant le Parti démocratique sénégalais (PDS) de l’ancien président, Abdoulaye Wade, qui occupe 12 sièges
-0- PANA AAS/AAS/IBA 30juil2017
