PANAPRESS
Agence Panafricaine d'information
La sécurité au menu d'une réunion des ministres des AE de l'UMA à Tripoli
Tripoli, Libye (PANA)- Les ministres des Affaires étrangères des pays de l'Union du Maghreb Arabe (UMA- Algérie, Libye, Maroc, Mauritanie et Tunisie) ont tenu samedi a Tripoli, une réunion consultative dominée par les questions de sécurité.
Ouvrant les travaux de cette rencontre qui se tient à l'initiative de la Libye qui assure la présidence en exercice de l'UMA, le Premier ministre Ali Zeidan a donné le ton en soulignant que la rencontre sera axée sur les questions de sécurité, première préoccupation à l'heure actuelle.
Il a souligné, en présence des ministres des Affaires étrangères de la Tunisie, Mongi Hamdi, de la Mauritanie Ahmed ould Teguedi, du Maroc Salaheddine Mezouar, de l'Algérie Ramtane Lamamra et de la Libye Mohamed Abdelaziz, "la nécessité d'échanger les données et expertises entre les pays de l'Union".
M Zeidan a souligné qu' "il y avait lieu de promouvoir la coopération entre les pays de ce rassemblement régional pour répondre aux aspirations légitimes des peuples de la région", malgré le faible rendement enregistré jusqu'ici par l'organisation.
Les ministres des Affaires étrangères des pays de l'UMA ont souligné tour à tour, au cours de cette rencontre qui se tient en marge de la commémoration du 25-ème anniversaire de l'organisation régionale, l'importance de poursuivre les efforts visant à parachever la construction de cet édifice porteur d'espoir pour la région.
Ils ont également exprimé leur soutien à la nouvelle Libye dans ses efforts pour la construction de l'Etat.
Créée en 1989 à Marrakech au Maroc, l'UMA était censée favoriser l'intégration des cinq pays formant la région. Mais cet ambitieux dessein a été contré par les problèmes générés par le conflit du Sahara occidental, notamment la dégradation des relations entre le Maroc et l'Algérie dans les années 90.
De l'avis d'experts, l'Union n'est toujours qu'à un stade symbolique retardant l'élan d'intégration entre ces pays, ce qui est de nature à faire obstacle à la promotion des échanges commerciaux provoquant d'importants manques à gagner pour ces pays.
Toutefois, les relations se sont développées au niveau bilatéral avec le tandem Libye-Tunisie qui, selon le secrétaire général de l'UMA, Habib Ben Yahya, sert de modèle avec des échanges commerciaux qui on atteint 2 milliards de dollars en 2011.
-0-Pana/BA/AD/SOC15Fevrier2014
Ouvrant les travaux de cette rencontre qui se tient à l'initiative de la Libye qui assure la présidence en exercice de l'UMA, le Premier ministre Ali Zeidan a donné le ton en soulignant que la rencontre sera axée sur les questions de sécurité, première préoccupation à l'heure actuelle.
Il a souligné, en présence des ministres des Affaires étrangères de la Tunisie, Mongi Hamdi, de la Mauritanie Ahmed ould Teguedi, du Maroc Salaheddine Mezouar, de l'Algérie Ramtane Lamamra et de la Libye Mohamed Abdelaziz, "la nécessité d'échanger les données et expertises entre les pays de l'Union".
M Zeidan a souligné qu' "il y avait lieu de promouvoir la coopération entre les pays de ce rassemblement régional pour répondre aux aspirations légitimes des peuples de la région", malgré le faible rendement enregistré jusqu'ici par l'organisation.
Les ministres des Affaires étrangères des pays de l'UMA ont souligné tour à tour, au cours de cette rencontre qui se tient en marge de la commémoration du 25-ème anniversaire de l'organisation régionale, l'importance de poursuivre les efforts visant à parachever la construction de cet édifice porteur d'espoir pour la région.
Ils ont également exprimé leur soutien à la nouvelle Libye dans ses efforts pour la construction de l'Etat.
Créée en 1989 à Marrakech au Maroc, l'UMA était censée favoriser l'intégration des cinq pays formant la région. Mais cet ambitieux dessein a été contré par les problèmes générés par le conflit du Sahara occidental, notamment la dégradation des relations entre le Maroc et l'Algérie dans les années 90.
De l'avis d'experts, l'Union n'est toujours qu'à un stade symbolique retardant l'élan d'intégration entre ces pays, ce qui est de nature à faire obstacle à la promotion des échanges commerciaux provoquant d'importants manques à gagner pour ces pays.
Toutefois, les relations se sont développées au niveau bilatéral avec le tandem Libye-Tunisie qui, selon le secrétaire général de l'UMA, Habib Ben Yahya, sert de modèle avec des échanges commerciaux qui on atteint 2 milliards de dollars en 2011.
-0-Pana/BA/AD/SOC15Fevrier2014