PANAPRESS
Agence Panafricaine d'information
Formation d’un gouvernement de 23 membres au Togo
Lomé, Togo (PANA) - Un nouveau gouvernement de 23 membres dont seulement 04 femmes a été formé dimanche soir au Togo avec à sa tête, le Premier ministre, Komi Sélom Klassou.
Le gouvernement, qui compte 23 membres contre 25 dans le précédent, enregistre 13 départs, 10 nouveaux et 12 ayant conservé leurs postes avec un changement de portefeuille.
Le ministre de l’Economie et des Finances, Adji Oteth Ayassor, déjà huit au poste, ajoute la planification du développement à ses charges et devient ministre d’Etat.
La ministre du Développement à la base, de l’Artisanat, de la Jeunesse et de l’Emploi des jeunes, Victoire Tomegah-Dogbé, conserve son poste.
Robert Dussey, en charge du portefeuille des Affaires étrangères et de la Coopération, se voit ajouter celui de l’Intégration sous-régionale.
Le colonel Damahame Yark, conserve son poste de ministre de la Sécurité et de la Protection civile.
Gilbert Bawara, qui avait en charge l’Administration territoriale, la Décentralisation et les Collectivités locales, change de portefeuille et devient ministre de la Fonction publique, du Travail et des Réformes administratives.
On note également le retour en force de certains anciens ministres, notamment Payadowa Boukpessi (ancien ministre des Sociétés d’Etat et de l’Economie) en charge de l’Administration territoriale ; Kossi Assimaidou, ancien ministre et ancien du FMI, devient ministre délégué auprès du ministre de l’Economie, chargé de la Planification du développement ; Guy Madjé Lorenzo, ancien ministre du Commerce, est de retour avec le portefeuille de la Communication, de la Culture, des Sports et de la Formation civique.
Le ministère de la Santé, resté plus de deux ans sans titulaire, est confié au professeur Moustapha Mijiyawa. Quant à celui du Tourisme, également non pourvu de ministre durant deux ans, est rattaché au ministère du Commerce.
Les départs les plus remarqués concernent celui du ministre de la Justice, Kofi Esaw (ancien conseiller du président de la République et ancien ministre des Affaires étrangères), celui des Affaires sociales, Dédé Ahoéfa Ekoué; les Mines et Energie (Noupokou Damipi) ; Mawussi Sémondji Djossou (Planification du développement).
La grande surprise dans ce nouveau gouvernement est l’absence du portefeuille des Droits de l’Homme qui ne fait plus partie de la structure gouvernementale, son ministre, Yacoubou Hamadou n’étant plus reconduit.
Le gouvernement est à presque 100 pc composé de membres de l’Union pour la République(UNIR), avec l’entrée de son vice-président, Georges Aïdam, comme ministre délégué chargé de l’Enseignement technique et de la Formation professionnelle.
Ce gouvernement a pour mission de traduire dans la réalité, la politique de Faure Essozimna Gnassingbé, axé sur le social et le développement économique, indique-t-on.
Les seuls membres du gouvernement qui n'appartiennent pas à l'UNIR sont: Octave Nicoué Broohm de la Convergence patriotique panafricaine (CPP); André Johnson (Environnement et Ressources forestières) et Elliott Ohin, ministre auprès du Premier ministre, tous deux de l’Union des forces de changement (UFC), de Gilchrist Olympio.
-0- PANA FAA/JSG/IBA 29juin2015
Le gouvernement, qui compte 23 membres contre 25 dans le précédent, enregistre 13 départs, 10 nouveaux et 12 ayant conservé leurs postes avec un changement de portefeuille.
Le ministre de l’Economie et des Finances, Adji Oteth Ayassor, déjà huit au poste, ajoute la planification du développement à ses charges et devient ministre d’Etat.
La ministre du Développement à la base, de l’Artisanat, de la Jeunesse et de l’Emploi des jeunes, Victoire Tomegah-Dogbé, conserve son poste.
Robert Dussey, en charge du portefeuille des Affaires étrangères et de la Coopération, se voit ajouter celui de l’Intégration sous-régionale.
Le colonel Damahame Yark, conserve son poste de ministre de la Sécurité et de la Protection civile.
Gilbert Bawara, qui avait en charge l’Administration territoriale, la Décentralisation et les Collectivités locales, change de portefeuille et devient ministre de la Fonction publique, du Travail et des Réformes administratives.
On note également le retour en force de certains anciens ministres, notamment Payadowa Boukpessi (ancien ministre des Sociétés d’Etat et de l’Economie) en charge de l’Administration territoriale ; Kossi Assimaidou, ancien ministre et ancien du FMI, devient ministre délégué auprès du ministre de l’Economie, chargé de la Planification du développement ; Guy Madjé Lorenzo, ancien ministre du Commerce, est de retour avec le portefeuille de la Communication, de la Culture, des Sports et de la Formation civique.
Le ministère de la Santé, resté plus de deux ans sans titulaire, est confié au professeur Moustapha Mijiyawa. Quant à celui du Tourisme, également non pourvu de ministre durant deux ans, est rattaché au ministère du Commerce.
Les départs les plus remarqués concernent celui du ministre de la Justice, Kofi Esaw (ancien conseiller du président de la République et ancien ministre des Affaires étrangères), celui des Affaires sociales, Dédé Ahoéfa Ekoué; les Mines et Energie (Noupokou Damipi) ; Mawussi Sémondji Djossou (Planification du développement).
La grande surprise dans ce nouveau gouvernement est l’absence du portefeuille des Droits de l’Homme qui ne fait plus partie de la structure gouvernementale, son ministre, Yacoubou Hamadou n’étant plus reconduit.
Le gouvernement est à presque 100 pc composé de membres de l’Union pour la République(UNIR), avec l’entrée de son vice-président, Georges Aïdam, comme ministre délégué chargé de l’Enseignement technique et de la Formation professionnelle.
Ce gouvernement a pour mission de traduire dans la réalité, la politique de Faure Essozimna Gnassingbé, axé sur le social et le développement économique, indique-t-on.
Les seuls membres du gouvernement qui n'appartiennent pas à l'UNIR sont: Octave Nicoué Broohm de la Convergence patriotique panafricaine (CPP); André Johnson (Environnement et Ressources forestières) et Elliott Ohin, ministre auprès du Premier ministre, tous deux de l’Union des forces de changement (UFC), de Gilchrist Olympio.
-0- PANA FAA/JSG/IBA 29juin2015