PANAPRESS
Agence Panafricaine d'information
Alerte à la bombe dans le complexe de l'Assemblée nationale du Nigeria
Abuja, Nigeria (PANA) - Il y a eu tumulte, une peur palpable et de la panique mardi en fin d'après-midi dans le complexe de l'Assemblée nationale du Nigeria, à Abuja, du fait que les législateurs, les travailleurs et les visiteurs ont de manière soudaine commencé à courir à la débandade à la recherche du chemin le plus proche pour s'échapper après un canular d'alerte à la bombe.
L'incident survient une journée après que 72 personnes ont trouvé la morts et 236 autres blessées quand une bombe a explosé dans un parking dans la banlieue de la capitale du Nigeria, Abuja, observe-t-on.
La panique a commencé aux environs de 14H locales quand une rumeur a commencé à se propager déclarant que des explosifs meurtriers ont été placés aux environs du Parlement et qu'ils exploseront d'un moment à l'autre.
En réaction aux rumeurs, les opérateurs de sécurité attachés à l'Assemblée nationale ont pris en charge les portes de l'institution et ont commencé à opérer de fouilles sur les voitures et sur toutes les personnes présentes.
Comme moyen d'éviter la tragédie, les chefs de département et les hautes autorités dans les différents bureaux ont enjoint à leurs subalternes de fermer les bureaux et de prendre congé pour la journée. Les entreprises privées dans l'enceinte, incluant les banques, les restaurants et les agences de voyage ont également, de manière précipitée, pris congé pour la journée.
Cependant, le sergent d'armes par intérim de l'Assemblée nationale, Ibrahim Ndako, a déclaré aux journalistes qu'il n'y avait rien qui ressemble à une bombe dans le complexe et a attribué la panique des travailleurs à de simples rumeurs.
-0- PANA MON/VAO/MTA/BEH/IBA 15 avril 2014
L'incident survient une journée après que 72 personnes ont trouvé la morts et 236 autres blessées quand une bombe a explosé dans un parking dans la banlieue de la capitale du Nigeria, Abuja, observe-t-on.
La panique a commencé aux environs de 14H locales quand une rumeur a commencé à se propager déclarant que des explosifs meurtriers ont été placés aux environs du Parlement et qu'ils exploseront d'un moment à l'autre.
En réaction aux rumeurs, les opérateurs de sécurité attachés à l'Assemblée nationale ont pris en charge les portes de l'institution et ont commencé à opérer de fouilles sur les voitures et sur toutes les personnes présentes.
Comme moyen d'éviter la tragédie, les chefs de département et les hautes autorités dans les différents bureaux ont enjoint à leurs subalternes de fermer les bureaux et de prendre congé pour la journée. Les entreprises privées dans l'enceinte, incluant les banques, les restaurants et les agences de voyage ont également, de manière précipitée, pris congé pour la journée.
Cependant, le sergent d'armes par intérim de l'Assemblée nationale, Ibrahim Ndako, a déclaré aux journalistes qu'il n'y avait rien qui ressemble à une bombe dans le complexe et a attribué la panique des travailleurs à de simples rumeurs.
-0- PANA MON/VAO/MTA/BEH/IBA 15 avril 2014