PANAPRESS
Agence Panafricaine d'information
3ème édition du marché des artisans prévue fin novembre
Abidjan, Côte d’Ivoire (PANA) - Le ministère ivoirien de l’Artisanat organise, du 29 novembre au 9 décembre, le 3ème Marché ivoirien de l’artisanat (MIVA 2018), à Eden Golf Hôtel à Abidjan.
Mardi, à son cabinet au Plateau, au cours de la conférence de presse de lancement, le titulaire du département ministériel, Konaté Sidiki, a précisé que cette édition, après celles de 2014 et 2016, est consacrée à la promotion et à la valorisation des produits artisanaux.
«Cette plateforme autour du thème : artisanat, un atout pour l’émergence de la Côte d’Ivoire, permettra aux artisans, entreprises artisanales et organisations professionnelles, d’exposer leurs produits et d’échanger sur les problématiques liées à l’exercice de l’activité artisanale en Côte d’Ivoire», a-t-il ajouté.
Pour ce faire, l’Etat ivoirien, a précisé le ministre Konaté Sidiki, offre gracieusement aux artisans, les 700 stands qui seront érigés à ce marché où la participation de pays étrangers est attendue. «Qu’ils soient petits, grands ou inconnus, tous sont invités à s’inscrire, parce que c’est à ce genre de salon que les plus gros contrats se signent, que les surprises agréables se font et que les rencontres susceptibles de changer des vies professionnelles se créent», a-t-il souligné.
Selon le ministre, dans le cadre de la promotion de l’artisanat, le gouvernement a déjà soutenu financièrement des artisans au Salon international de l’artisanat de Ouagadougou. La Côte d’Ivoire y a été lauréate du Grand prix du président du Faso dans la catégorie meilleur stand-pays.
Cette sollicitude de l’Etat envers les artisans s’explique par leur poids dans l’économie ivoirienne. En effet, le monde de l’artisanat touche 40% de la population active, soit environ cinq millions de personnes reparties sur huit branches d’activités, 40 corps de métiers et 245 métiers.
Et selon les statistiques du BIT, le monde de l’artisanat se positionne comme l’un des plus grands pourvoyeurs d’emplois, de formation et de richesse de la Côte d’Ivoire. D’où, les réformes entreprises par le gouvernement qui permettent désormais de réguler le monde de l’artisanat et de déterminer les conditions d’exercice des métiers.
-0- PANA JU/BEH/SOC 07nov2018
Mardi, à son cabinet au Plateau, au cours de la conférence de presse de lancement, le titulaire du département ministériel, Konaté Sidiki, a précisé que cette édition, après celles de 2014 et 2016, est consacrée à la promotion et à la valorisation des produits artisanaux.
«Cette plateforme autour du thème : artisanat, un atout pour l’émergence de la Côte d’Ivoire, permettra aux artisans, entreprises artisanales et organisations professionnelles, d’exposer leurs produits et d’échanger sur les problématiques liées à l’exercice de l’activité artisanale en Côte d’Ivoire», a-t-il ajouté.
Pour ce faire, l’Etat ivoirien, a précisé le ministre Konaté Sidiki, offre gracieusement aux artisans, les 700 stands qui seront érigés à ce marché où la participation de pays étrangers est attendue. «Qu’ils soient petits, grands ou inconnus, tous sont invités à s’inscrire, parce que c’est à ce genre de salon que les plus gros contrats se signent, que les surprises agréables se font et que les rencontres susceptibles de changer des vies professionnelles se créent», a-t-il souligné.
Selon le ministre, dans le cadre de la promotion de l’artisanat, le gouvernement a déjà soutenu financièrement des artisans au Salon international de l’artisanat de Ouagadougou. La Côte d’Ivoire y a été lauréate du Grand prix du président du Faso dans la catégorie meilleur stand-pays.
Cette sollicitude de l’Etat envers les artisans s’explique par leur poids dans l’économie ivoirienne. En effet, le monde de l’artisanat touche 40% de la population active, soit environ cinq millions de personnes reparties sur huit branches d’activités, 40 corps de métiers et 245 métiers.
Et selon les statistiques du BIT, le monde de l’artisanat se positionne comme l’un des plus grands pourvoyeurs d’emplois, de formation et de richesse de la Côte d’Ivoire. D’où, les réformes entreprises par le gouvernement qui permettent désormais de réguler le monde de l’artisanat et de déterminer les conditions d’exercice des métiers.
-0- PANA JU/BEH/SOC 07nov2018