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Agence Panafricaine d'information
Côte d'Ivoire : Un partenariat pour endiguer les menaces croissantes sur la faune et la flore aquatiques
Abidjan, Côte d'Ivoire (PANA) - Un atelier de haut niveau a débuté, lundi, dans la capitale économique ivoirienne, Abidjan, pour rendre opérationnel le Partenariat sur la faune et la flore aquatiques (Abidjan Aquatic Wildlife Partnership, AAWP) à travers la coordination d'actions de lutte face aux menaces croissantes sur les espèces menacées, protégées ou en voie de disparition.
Les participants à l'atelier, qui prend fin mercredi, ont entamé des discussions sur les actions à identifier pour lutter contre le commerce, la consommation et l'utilisation des espèces de la faune et de la flore marines et aquatiques en voie de disparition ou menacées.
Le plan d'actions de l'AAWP qui sera soumis aux Etats-parties à la Convention d'Abidjan sur la coopération, la protection, la gestion et le développement d'un environnement marin et côtier de la côte Atlantique des régions Ouest, Centre et Sud d'Afrique, va comporter le partage de bonnes pratiques sur la lutte contre le commerce, la consommation et l'utilisation des espèces marines et aquatiques en danger.
Selon un nouveau rapport du Programme sur la biodiversité et les changements climatiques en Afrique de l'Ouest (WA BICC) de l'Agence des Etats-Unis pour le développement international (USAID), l'utilisation illégale et la consommation de dauphins, de lamantins, d'hippopotames et de tortues de mer ont atteint un pic, menaçant leur survie et leur écosystème.
Le niveau de la menace sur ces espèces est en augmentation au Bénin, au Cameroun, au Nigeria et au Togo.
L'Afrique dispose d'une Stratégie maritime intégrée (Africa Integrated Maritime Strategy, AIMS) 2050 visant à assurer efficacement la protection des océans, des mers et des ressources marines.
La Journée africaine des mers et des océans est célébrée, le 25 juillet de chaque année.
L'AAWP a été mis en place en mars 2017 lors de la 12ème Conférence des parties à la Convention d'Abidjan (COP 12) pour sauvegarder les espèces marines et aquatiques menacées, en voie de disparition ou protégées en identifiant les causes de leur commerce, de leur capture et de leur consommation, en établissant des principes et des pratiques de gestion durable des océans au sein des communautés locales et en autonomisant les parties prenantes locales.
Les membres fondateurs sont WA BICC, l'organisation suisse à but non lucratif, OceanCare et Wild Migration.
-0- PANA BAL/ISIBA 24juil2018
Les participants à l'atelier, qui prend fin mercredi, ont entamé des discussions sur les actions à identifier pour lutter contre le commerce, la consommation et l'utilisation des espèces de la faune et de la flore marines et aquatiques en voie de disparition ou menacées.
Le plan d'actions de l'AAWP qui sera soumis aux Etats-parties à la Convention d'Abidjan sur la coopération, la protection, la gestion et le développement d'un environnement marin et côtier de la côte Atlantique des régions Ouest, Centre et Sud d'Afrique, va comporter le partage de bonnes pratiques sur la lutte contre le commerce, la consommation et l'utilisation des espèces marines et aquatiques en danger.
Selon un nouveau rapport du Programme sur la biodiversité et les changements climatiques en Afrique de l'Ouest (WA BICC) de l'Agence des Etats-Unis pour le développement international (USAID), l'utilisation illégale et la consommation de dauphins, de lamantins, d'hippopotames et de tortues de mer ont atteint un pic, menaçant leur survie et leur écosystème.
Le niveau de la menace sur ces espèces est en augmentation au Bénin, au Cameroun, au Nigeria et au Togo.
L'Afrique dispose d'une Stratégie maritime intégrée (Africa Integrated Maritime Strategy, AIMS) 2050 visant à assurer efficacement la protection des océans, des mers et des ressources marines.
La Journée africaine des mers et des océans est célébrée, le 25 juillet de chaque année.
L'AAWP a été mis en place en mars 2017 lors de la 12ème Conférence des parties à la Convention d'Abidjan (COP 12) pour sauvegarder les espèces marines et aquatiques menacées, en voie de disparition ou protégées en identifiant les causes de leur commerce, de leur capture et de leur consommation, en établissant des principes et des pratiques de gestion durable des océans au sein des communautés locales et en autonomisant les parties prenantes locales.
Les membres fondateurs sont WA BICC, l'organisation suisse à but non lucratif, OceanCare et Wild Migration.
-0- PANA BAL/ISIBA 24juil2018